Autres temps, autres mœurs : à l’époque des premières missions de la base de Port-aux-Français, il était de bon ton d’introduire volontairement à peu près n’importe quoi sous des prétextes farfelus, au mépris du respect le plus élémentaire de l’environnement.

Heureusement, les îles australes françaises sont actuellement considérées comme des sanctuaires de l’humanité et la priorité est à la conservation des espèces et des milieux naturels de ce patrimoine exceptionnel, ainsi que la réparation, dans la mesure du possible, des erreurs du passé.